MARANATHA, LE SEIGNEUR VIENT! |
18 Septembre
LA FIN DU TEMPS D'ÉPREUVE
Condamnés à mort
Les lettres furent envoyées par les courriers dans toutes les provinces du roi, pour qu'on détruisît, qu'on tuât et qu'on fît périr tous les Juifs, jeunes et vieux, petits enfants et femmes, en un seul jour. Est. 3:13.
Le décret qui frappera finalement le reste du peuple de Dieu sera tout à fait semblable à celui qui a été promulgué par Assuérus contre les Juifs. (PR 459).
A l'heure où le peuple de Dieu sera privé de la protection des lois humaines, et où approchera le moment fixé par le décret, il se produira simultanément dans différents pays un mouvement en vue de l'extirpation de la secte détestée. Une nuit sera choisie pour porter un coup décisif qui réduira au silence les voix dissidentes et réprobatrices. (TS 689).
Un décret sera édicté selon lequel ils devront respecter le premier jour de la semaine au lieu du Sabbat du quatrième commandement, ou périr. Mais ils ne céderont pas; ils ne piétineront pas le Sabbat du Seigneur pour honorer une institution papale. Les armées sataniques et les impies les encercleront et exulteront à leur sujet car ils ne sembleront pas pouvoir leur échapper. (Testimony Treasures, vol. 1, p. 132).
Lorsque ce temps de trouble arrivera, le cas de chaque personne aura été examiné; le temps de probation est achevé, il n'y a plus de pardon pour les impénitents. Le sceau du Dieu vivant a été placé sur Son peuple. Ce petit reste, incapable de se défendre dans la lutte à mort où il se trouve engagé avec les puissances de la terre alliées aux armées du dragon, trouve en Dieu son refuge. Le décret a été promulgué par les autorités terrestres les plus hautes afin de le contraindre à adorer la bête et à recevoir sa marque sous peine de persécution et de mise à mort. (5T 212, 213).
C'était une heure d'angoisse, d'agonie terrible pour les saints. Ils criaient à Dieu jour et nuit pour être délivrés. A vues humaines, il n'y avait pour eux aucun moyen d'échapper. Déjà les méchants commençaient à triompher: "Pourquoi votre Dieu ne vous délivre-t-Il pas de nos mains? Pourquoi ne montez-vous pas au ciel pour assurer votre vie?" Mais les saints ne tenaient aucun compte de ces paroles. (PE 283).