MARC

(commentaires bibliques)

(catalogue)

 

Chapitres: 3, 4, 6, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15, 16

CHAPITRE 1

 

9:11. Voir le com. d'EGW sur Matthieu 3:13 à 17.

10 à 13. Voir le com. d'EGW sur Matthieu 4:1 à 11.

CHAPITRE 2

 

14 et 15. Voir le com. d'EGW sur Luc 5:29.

17. Voir le com. d'EGW sur Matthieu 9:12 et 13.

22. Voir le com. d'EGW sur Matthieu 9:17.

CHAPITRE 3

(index)

1 à 3. Voir le com. d'EGW sur Luc 1:76 et 77.

22. Voir le com. d'EGW sur Matthieu 12:24 à 32.

CHAPITRE 4

(index)

30 (Luc 13:18). Différent des gouvernements terrestres.

Le gouvernement du royaume de Christ ne ressemble à aucun gouvernement terrestre. C'est un modèle des caractères de ceux qui composent le royaume. "A quoi comparerons-nous le royaume de Dieu, ou par quelle parabole le représenterons-nous?", demanda Jésus. Il ne pouvait rien trouver sur la terre qui lui servirait de comparaison parfaite. Son tribunal est présidé par un amour saint, dont les charges et les nominations sont honorées par l'exercice de la charité. Dieu ordonna à ses serviteurs de pratiquer la piété et la bonté –les mêmes attributs que Dieu- dans l'exercice de leurs fonctions, et qu'ils trouvent de la joie et de la satisfaction à réfléchir l'amour et la tendre compassion de la nature divine envers tous ceux qui sont en relation avec eux (RH 19/3/1908).

CHAPITRE 6

(index)

26. Voir le com. d'EGW sur Matthieu 14:9.

CHAPITRE 8

(index)

34. Voir le com. d'EGW sur Matthieu 16:24; Luc 9:23.

CHAPITRE 9

(index)

2 à 4. Voir le com. d'EGW sur Matthieu 17:1 à 3.

CHAPITRE 10

(index)

13 à 16. Voir le com. d'EGW sur Matthieu 19:13 à 15.

45. Voir le com. d'EGW sur Matthieu 9:12 et 13.

46 à 52 (Matthieu 20:30 à 34; Luc 18:35 à 43). Quelques-uns de ceux qui ont des yeux ne voient rien.

Le cœur du pécheur ne recherche Celui qui peut l'aider que lorsqu'il sent la nécessité du Sauveur. Quand Jésus était parmi les hommes, seuls les malades avaient besoin d'un médecin. Les pauvres, les affligés et les angoissés le suivaient pour recevoir l'aide et la consolation qu'ils ne pouvaient trouver nulle part. L'aveugle Bartimée attendait au bord du chemin; il a attendu longtemps pour rencontrer Christ. Des multitudes qui voient vont ici et là, mais elles ne désirent pas voir Jésus. Un regard de foi toucherait le cœur rempli d'amour de Christ et leur attirerait les bénédictions de sa grâce, mais elles ne connaissent pas la maladie et la misère de leur âme et elles ne ressentent pas la nécessité de Christ. Il n'en fut pas ainsi du pauvre aveugle. Son unique espérance était en Jésus. Tandis qu'il attend et veille, il entend le bruit de nombreux pas, et demande avec anxiété: 'Que signifie ces bruits de pas?' Ceux qui l'entouraient lui répondirent que Jésus de Nazareth passait. Avec la ferveur d'un désir intense, il crie: "Fils de David, Jésus, aie pitié de moi!" Ils essayent de le faire taire mais il crie beaucoup plus fort:"Fils de David, Jésus aie pitié de moi!" Son appel est entendu. Sa foi persévérante est récompensée. Non seulement la vue physique lui est rendue mais les yeux de son intelligence sont ouverts; il voit en Christ son Rédempteur et le Soleil de justice brille dans son âme. Tous ceux qui ressentent le besoin de Christ comme l'aveugle Bartimée l'a ressenti, recevront comme lui la bénédiction qu'ils désirent.

Les affligés, les souffrants qui cherchaient Christ comme aide, étaient charmés de la perfection divine, de la beauté de la sainteté qui resplendissaient de son caractère. Mais les pharisiens ne le désiraient pas parce qu'ils ne pouvaient pas voir sa beauté. Son vêtement simple et sa vie humble, dépourvue d'ostentation extérieure, étaient pour eux comme une terre aride (RH 15/3/1887).

CHAPITRE 11

(index)

12 à 14. Voir le com. d'EGW sur Matthieu 21:18 à 20.

CHAPITRE 12

(index)

30 (Écclésiaste 9:10; Luc 10:27; Romains 12:11; Colossiens 3:23). Le service de chaque faculté.

Le facultés physiques doivent être mises au service de l'amour de Dieu. Le Seigneur demande la force physique, et vous pouvez révéler votre amour pour lui par l'usage correct de vos facultés physiques, en accomplissant précisément l'œuvre qui doit être faite. Dieu ne fait acception de personnes…

Il y a de la science dans la plus humble sorte de travail, et si tous le considéraient ainsi, ils verraient la noblesse du travail. Le cœur et l'âme doivent se mettre à l'œuvre quelque soit le travail; alors, il y a de la joie et de l'efficacité. Dans les occupations mécaniques et agricoles les hommes peuvent démontrer à Dieu qu'ils apprécient ses dons des facultés physiques et mentales. Utilisez l'habileté éduquée pour améliorer les méthodes de travail. C'est exactement ce que veut le Seigneur. N'importe quelle sorte de travail nécessaire est honorable. Convertissez la loi de Dieu en norme d'action, et elle ennoblira et sanctifiera tout travail. La fidélité dans l'exécution de chaque devoir ennoblit le travail et révèle un caractère que Dieu peut approuver.

"Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta pensée et de toute ta force." Dieu désire l'amour qui s'exprime par un service bienveillant, un service spirituel, un service des facultés physiques. Nous ne devons pas être amoindris par aucune classe de service pour Dieu. Quelque soit ce qu'Il nous a prêté, nous devons l'utiliser intelligemment pour Lui. Celui qui exerce ses facultés les fortifie sûrement; mais il doit s'efforcer de faire le maximum. L'intelligence et l'habileté éduquées sont nécessaires pour imaginer les meilleurs méthodes d'agriculture, de construction et dans n'importe quelle branche pour que l'ouvrier ne travaille pas en vain…

Le devoir de chaque ouvrier n'est pas seulement de donner sa vigueur mais aussi son esprit et son intelligence dans tout ce qu'il entreprend… Vous pouvez choisir d'être routiniers dans une conduite erronée pour n'avoir pas à vous occuper de vous-mêmes pour vous réformer, ou bien vous pouvez cultiver vos facultés pour rendre le meilleur service et alors vous serez sollicités dans n'importe quelle branche et partout. Vous serez appréciés pour tout ce que vous valez. "Tout ce que ta main trouve à faire avec ta force, fais-le."Ayez du zèle et non de la paresse. Soyez fervents d'esprit. Servez le Seigneur." (MS 8, 1894).

CHAPITRE 13

(index)

21 et 22. Voir le com. d'EGW sur Matthieu 24:23 et 24.

34. Voir le com. d'EGW sur Jean 17:20 et 21.

CHAPITRE 14

(index)

1. Voir le com. d'EGW sur Matthieu 26:2.

3 à 9. Voir le com. d'EGW sur Matthieu 26:6 à 13; Jean 12:3.

10 et 11. Voir le com. d'EGW sur Matthieu 26:14 à 16; Luc 22:3 à 5.

27 à 31. Voir le com. d'EGW sur Matthieu 26:31 à 35.

29 à 31. Voir le com. d'EGW sur Luc 22:31 à 34.

32 à 42. Voir le com. d'EGW sur Matthieu 26:36 à 46.

36. Voir le com. d'EGW sur Matthieu 26:42; Luc 22:42; Romains 8:11.

40. Voir le com. d'EGW sur Matthieu 26:43.

53. Voir le com. d'EGW sur Matthieu 26:3.

61 et 62. Voir le com. d'EGW sur Matthieu 26:63 et 64; Luc 22:70.

63. Voir le com. d'EGW sur Matthieu 26:65.

CHAPITRE 15

(index)

6 à 15. Voir le com. d'EGW sur Matthieu 15 à 26.

12 à 14. Voir le com. d'EGW sur Matthieu 27:22 et 23.

14 et 15. Voir le com. d'EGW sur Matthieu 27:25 et 26.

21. Voir le com. d'EGW sur Matthieu 27:32.

26. Voir le com. d'EGW sur Matthieu 27:37.

27. Voir le com. d'EGW sur Matthieu 27:38.

31. Voir le com. d'EGW sur Luc 24:13 à 15.

33. Voir le com. d'EGW sur Matthieu 27:45.

33, 34 et 39. Voir le com. d'EGW sur Matthieu 27:45 et 46.

37. Voir le com. d'EGW sur Matthieu 27:50; Jean 19:30.

38. Voir le com. d'EGW sur Matthieu 27:51; Jean 19:30.

39. Voir le com. d'EGW sur Matthieu 27:54.

CHAPITRE 16

(index)

1 et 2 (Matthieu 28:1; Luc 24:1; Romains 6:3 à 5; 1 Corinthiens 11:26). La résurrection ne fait du premier jour un jour sacré.

Christ se reposa dans la tombe le Sabbat, et quand les êtres saints, tant sur la terre qu'au ciel, étaient en activité le matin du premier jour de la semaine, il sortit de la tombe pour renouveler la tâche d'enseigner ses disciples. Mais ce fait ne convertit pas le premier jour de la semaine en un jour sacré et n'en fait pas un jour de repos. Jésus a établi avant sa mort un mémorial de son corps brisé et du sang versé pour les péchés du monde, le rite de la Cène du Seigneur, quand il a dit: "Toutes les fois que vous mangez ce pain et que vous buvez cette coupe, vous annoncez la mort du Seigneur, jusqu'à ce qu'il vienne." Et le croyant repentant, qui suit les étapes qu'exige la conversion, commémore par son baptême la mort, l'ensevelissement et la résurrection de Christ. Il descend dans les eaux à la ressemblance de la mort et de l'ensevelissement de Christ, et il sort des eaux à la ressemblance de sa résurrection, non pour vivre son ancienne vie de péché, mais pour vivre une nouvelle vie en Jésus-Christ (3 SP 204).

6 (Jean 1:1 à 3 et 14; Philippiens 2:5 à 8; Colossiens 2:9; Hébreux 1:6 et 8; 2:14 à 17; 4:15). La Divinité ne mourut pas.

La nature humaine du Fils de Marie fut-elle changée en la nature divine du Fils de Dieu? Non. Les deux natures se mêlèrent mystérieusement en une seule personne: l'Homme Jésus-Christ. En lui habitait corporellement toute la plénitude de la Divinité. Quand Christ fut crucifié, sa nature humaine fut celle qui mourut. La Divinité ne diminua pas ni ne mourut; ceci aurait été impossible. Christ, l'immaculé, sauvera chaque fils et fille d'Adam qui accepte le salut qui lui est offert, qui consent à se convertir en fils ou fille de Dieu. Le Sauveur a acheté la race déchue avec son propre sang.

C'est un grand mystère, un mystère qui ne sera pas compris pleinement et complètement, dans toute sa grandeur, jusqu'à ce que les rachetés soient translatés. Alors, ils comprendront le pouvoir, la grandeur et l'efficacité du don de Dieu à l'homme. Mais l'ennemi a décidé que ce don serait obscurci jusqu'au point d'être réduit à rien (Lettre 280, 1904).

(Matthieu 28:5 et 6; Luc 24:5 et 6; Jean 2:19; 10:17 et 18; Actes 13:32 et 33).

Quand on entendit la voix de l'ange qui disait:"Ton Père t'appelle", Celui qui avait dit: "Je donne ma vie, afin de la reprendre"… "Détruisez ce temple, et en trois jours je le relèverai", laissa la tombe pour la vie qui était en lui-même. La Divinité qui était en lui ne mourut point. L'humanité mourut; mais Christ proclame maintenant sur le sépulcre ouvert de Joseph: "Je suis la résurrection et la vie". Par sa divinité, Christ avait le pouvoir de rompre les liens de la mort. Il déclare qu'il avait la vie en lui-même pour la donner à qui il veut.

"Je suis la résurrection et la vie". Seul la Divinité peut employer ce langage. Toutes les choses créées vivent par la volonté et la puissance de Dieu. Elles sont les récipients qui dépendent de la vie du Fils de Dieu. Peu importe leurs capacités et leurs talents, peu importe la grandeur de leurs aptitudes, elles sont remplies de la vie venant de la Source de toute vie. Seul Celui qui est l'unique à posséder l'immortalité, et dans lequel demeurent la lumière et la vie, peut dire: "J'ai le pouvoir de la donner, et j'ai le pouvoir de la reprendre". Tous les êtres humains de notre monde tirent leur vie de lui. Il est l'origine, la source de la vie (MS 131, 1897).

Christ fut investi du droit de donner l'immortalité. La vie qu'il avait abandonnée dans son humanité, il la reprit et la donna à l'humanité. "Je suis venu afin que les brebis aient la vie, et qu'elles soient dans l'abondance." (YI 4/8/1898).

Seul le Père pouvait libérer Christ.

Celui qui mourut pour les péchés du monde devait rester dans la tombe le temps déterminé. Il était dans sa prison de pierre comme un prisonnier de la justice divine. Il était responsable devant le Juge de l'univers. Il portait les péchés du monde, et seul son Père pouvait le libérer. Une forte garde d'anges puissants veillait sur le tombeau, et si une main s'était levée pour retirer le corps, la fulguration qui émanait de la gloire des anges aurait terrassé le téméraire.

Il y avait une seule entrée au tombeau, et aucune force humaine ni aucune fraude n'aurait pu s'aventurer à toucher la pierre qui gardait l'entrée. Là, Jésus reposait pendant le Sabbat. Mais la prophétie avait annoncé que le troisième jour Christ se lèverait d'entre les morts. Christ lui-même avait assuré à ses disciples: "Détruisez ce temple, et en trois jours je le relèverai". Christ ne commit pas de péché et il n'y eut aucune fraude dans sa bouche. Son corps sortit de la tombe sans aucune tache de corruption (MS 94, 1897).

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